
L'étude, parue sur le journal scientifique PLOS One, met en relation des similitudes entre le comportement relatif à la consommation de certains ingrédients avec l'addiction. 504 personnes ont ainsi été interrogées sur les aliments qui leur posaient le plus de problèmes. Pour chiffrer ce sentiment, ils ont utilisé le système de l'échelle d'addiction alimentaire de Yale. Par exemple, pour un aliment, ils ont comptabilisé le nombre de fois où ils se sont reconnus dans l'affirmation "Je mange jusqu'à m'en rendre malade".
Une moyenne a ensuite été effectuée par type d'aliments, puis un classement afin de mettre en valeur le comportement addictif engendré de manière plus ou moins importante. Cette échelle est comprise de 1 à 7: 1 étant les ingrédients les moins problématiques et 7 étant ceux qui au contraire le sont le plus.
Commentaires des membres:
Tous ces chercheurs ont bien du temps à perdre pour nous pondre des vérités que nous connaissons tous.
Et oui je suis plus addict au chocolat qu'aux scorsonères..!!
Pas besoin de faire de la recherche pour savoir que peu de gens peuvent manger du concombre a s'en rendre malade!